L'installation pilote et de recherche de pointe de Yava au centre Verschuren de l’UCB
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Yava Research a été fondée pour développer des technologies écologiques rentables
Notre histoire
Yava Research Inc. (Yava) a été fondée pour mettre au point des technologies écologiques rentables permettant de récupérer un large éventail de minéraux à partir de gisements de minerai, de composés industriels à faible teneur ou de déchets. Le soutien du gouvernement fédéral canadien et de l'Université du Cap-Breton (UCB) a permis à Yava Technologies Inc. (la société mère de Yava) d'établir les installations pilotes et de recherche de pointe de Yava au centre Verschuren de l’UCB.
En nous limitant à la mise au point de procédés industriels écologiques, nous avons été contraints de trouver de nouvelles façons de résoudre d'anciens problèmes.
Une avancée technologique
Les résultats des recherches initiales de Yava ont conduit à la mise au point d'une technologie très complète de récupération des métaux et des composés métalliques à partir de minerais ou de résidus sulfurés ou oxydés.
Le processus élimine le besoin d'une fonderie et permet de produire un produit à valeur ajoutée sur le site de la mine qui peut être expédié directement à l'utilisateur final.​
La technologie de Yava a le potentiel d'augmenter les profits des mines tout en réduisant les coûts et l'impact environnemental. Les métaux qui peuvent potentiellement être récupérés sont l'or, le nickel, l'argent, le cuivre, le molybdène et le zinc.
La technologie de Yava pourrait également être utilisée pour convertir de manière rentable les déchets dangereux des aciéries et des fonderies en produits à valeur ajoutée.
Une autre idée nouvelle
Une nouvelle initiative de recherche a abouti à la mise au point d'un procédé exclusif de production d'alumine de haute pureté (HPA) à partir d'une gamme de composés industriels contenant de l'aluminium de faible qualité, y compris les cendres volantes de charbon. L'alumine de haute pureté (HPA) est généralement appelée alumine (oxyde d'aluminium), qui est pure à au moins 99,99 % (4N). C'est l'un des ingrédients les plus essentiels et les plus recherchés pour une utilisation dans les domaines des DEL, des semi-conducteurs, du phosphore, du saphir, des batteries lithium-ion et autres. En raison de sa dureté et de sa durabilité, elle est de plus en plus utilisée pour la fabrication de séparateurs dans les batteries.
En reconnaissance de sa technologie HPA, Yava a reçu l'approbation d'une subvention de 7,7 millions de dollars américains (9,9 millions de dollars canadiens) de Technologies du développement durable Canada (TDDC).
La subvention de TDDC devrait faire partie du financement d'une usine de démonstration à l'échelle commerciale de 97 millions $US (124 millions $CAN) qui produira 5,4 tpj de HPA.
TDDC est une agence du gouvernement fédéral canadien et est reconnue internationalement pour la richesse de son expertise dans l'évaluation des nouvelles technologies écologiques. La subvention accordée à Yava par TDDC est l'une des plus importantes de ses 18 années d'existence.
Une nouvelle façon de réduire la consommation de carburant
Yava a développé une technologie neutre en carbone pour produire une forme supérieure de silice précipitée (SILICA). Un important laboratoire indépendant de l'industrie du caoutchouc (ARDL) a confirmé que la SILICA fabriquée selon ce procédé est plus performante que les autres produits SILICA sur le marché. La SILICA est très demandée par l'industrie du pneu et du caoutchouc en général car elle améliore les performances du caoutchouc. Par exemple, les pneus fabriqués avec de la SILICA ont des distances d'arrêt plus courtes et une consommation de carburant réduite. C'est pourquoi les pneus fabriqués avec la SILICA sont appelés "pneus écologiques".
Yava a reçu des offres de soutien financier de plusieurs états américains ainsi que du gouvernement du Québec. Ces offres de soutien financier sont subordonnées à l'implantation par Yava de son usine de SILICA dans leur juridiction respective.
Plans à court et à plus long terme
À court terme, Yava et ses consultants se concentrent sur l'achèvement des essais pilotes, de l'ingénierie, etc. qui sont nécessaires pour compléter la conception des usines initiales pour les technologies HPA et SILICA. Il est possible que les deux usines soient construites au Québec.
À plus long terme, Yava prévoit de continuer à optimiser ses technologies, en se concentrant sur la récupération du nickel, du cobalt, du lithium et de l'or à partir de minerais ou de concentrés. Yava est également intéressée à travailler avec des partenaires de l'industrie pour développer des technologies qui rendront leurs opérations plus écologiques et augmenteront leurs profits.